Etude Scientifique de l'année 2020 dans le domaine Politique - Sujet: Paix et Conflits, Sécurité, ( Atlantic International University ), cours: Contre-terrorisme, langue: français, résumé: Le phénomène de combattants terroristes étrangers fait la une des journaux du fait de la brutalité des actes de violence que commettent ces acteurs non étatiques. Ces combattants sont des acteurs qui participent à un conflit civile alors qu'ils ne sont pas originaires ou citoyens du pays où ils vont s'engager au combat. Le phénomène est réapparu en 2011 lorsque plusieurs opposants au régime de Bashar Al-Assad ont pris les armes avec l'intention de renverser son régime à Damas et celui de faire tomber le gouvernement irakien. Ces combattants terroristes s'engagent au côté des organisations comme l'Etat Islamique. La grande préoccupation est de savoir si ces combattants représentent une menace à la paix et la stabilité une fois de retour dans leur pays d'origine. En clair, engagent-ils nécessairement une campagne de violence ? Existe-il un moyen de contrer l'extrémisme violent découlant de leur retour? Une approche de réintégration peut-elle être envisageable au retour de ces combattants?

Dr.Jean Cedric Obame Emane is a high rank university scholar and researcher at the doctoral and postdoctoral levels. He has made major contributions to the scientific community regarding the quality of the researches he has conducted so far. He is currently working on the paper "The Responsibility to Protect (R2P) Doctrine and the Sovereignty of States".

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Etude Scientifique de l'année 2020 dans le domaine Politique - Politique internationale - Sujet: Paix et Conflits, Sécurité, ( Atlantic International University ), cours: Contre-terrorisme, langue: Français, résumé: Le phénomène de combattants terroristes étrangers fait la une des journaux du fait de la brutalité des actes de violence que commettent ces acteurs non étatiques. Ces combattants sont des acteurs qui participent à un conflit civile alors qu'ils ne sont pas originaires ou citoyens du pays où ils vont s'engager au combat. Le phénomène est réapparu en 2011 lorsque plusieurs opposants au régime de Bashar Al-Assad ont pris les armes avec l'intention de renverser son régime à Damas et celui de faire tomber le gouvernement irakien. Ces combattants terroristes s'engagent au côté des organisations comme l'Etat Islamique. La grande préoccupation est de savoir si ces combattants représentent une menace à la paix et la stabilité une fois de retour dans leur pays d'origine. En clair, engagent-ils nécessairement une campagne de violence ? Existe-il un moyen de contrer l'extrémisme violent découlant de leur retour? Une approche de réintégration peut-elle être envisageable au retour de ces combattants?