La Vendetta dans la peau - La guerre d'Algérie

Petru Matteu (prononcer Pétrou Mattéou), alias Ciprianu, retournait le 1er octobre 1961 en Algérie, à Alger pour combattre non plus les « rebelles », mais l'O.A.S. (Organisation armée secrète, dont le chef suprême était l'ex-Général d'Armée , Raoul Salan. Petru Matteu était membre d'une unité spéciale, gaulliste, stationnée au palais d'Eté, à Alger. A tout prix, il voulait prendre sa revanche contre les colons et leurs marionnettes, les officiers généraux et supérieurs de l'Armée française. Avec ardeur, il se lançait immédiatement dans ce combat plus meurtrier que le premier (voir « Bandit d'honneur en uniforme). C'était pour lui une seconde vendetta corse. Il participait à de nombreuses arrestations dont celle du Général Salan, de Degueldre, chef des commandos « Delta ». Après 9 mois de lutte sans pardon ni pitié, il retournait « in Casa-soia » (chez lui) non seulement sain et sauve mais aussi vainqueur.

Texte du rabat

Petru Matteu (prononcer Pétrou Mattéou), alias Ciprianu, retournait le 1er octobre 1961 en Algérie, à Alger pour combattre non plus les « rebelles », mais l'O.A.S. (Organisation armée secrète, dont le chef suprême était l'ex-Général d'Armée , Raoul Salan. Petru Matteu était membre d'une unité spéciale, gaulliste, stationnée au palais d'Eté, à Alger. A tout prix, il voulait prendre sa revanche contre les colons et leurs marionnettes, les officiers généraux et supérieurs de l'Armée française.
Avec ardeur, il se lançait immédiatement dans ce combat plus meurtrier que le premier (voir « Bandit d'honneur en uniforme). C'était pour lui une seconde vendetta corse. Il participait à de nombreuses arrestations dont celle du Général Salan, de Degueldre, chef des commandos « Delta ».
Après 9 mois de lutte sans pardon ni pitié, il retournait « in Casa-soia » (chez lui) non seulement sain et sauve mais aussi vainqueur.