Analyse socioéconomique des foyers améliorés et leur niveau d'adoption dans les ménages burundais

À quelques exceptions près, tout le monde fait la cuisine tous les jours, de diverses manières, avec différents outils et avec un succès variable. La situation énergétique au Burundi reste préoccupante à cause de la démographie galopante et de l'urbanisation extensive. La population Burundaise utilise en grande partie de la biomasse (bois de chauffe et charbon de bois) pour la cuisson. Les foyers traditionnels couramment utilisés à l'échelle ménage pour la cuisson sont inefficaces. La transition vers les foyers améliorés avec une performance énergétique (à bois et à charbon de bois) au remplacement des foyers traditionnels à trois pierres et braséro est très indispensable. La technique des foyers améliorés s'offre donc, comme une mesure d'accompagnement du reboisement et leur adoption contribuera aux économies des ménages, à la réduction du bois énergie et à la maitrise du temps de cuisson. Ce qui contribue à l'amélioration des conditions de vie de la Population Burundaise et à la sauvegarde environnementale.

Claudine Nininahazwe vit à Bujumbura, Burundi, avec son époux Wakana Ferdinand et ses enfants Liam Axel GATEKA et Jody Bryan MUGIRANEZA. Elle est chercheuse en socio économie rurale. Enseignante à l'Université du Lac Tanganyika. Elle s'attache à l'énergie de cuisson, l'élément indispensable pour l'être humain.

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Claudine Nininahazwe vit à Bujumbura, Burundi, avec son époux Wakana Ferdinand et ses enfants Liam Axel GATEKA et Jody Bryan MUGIRANEZA. Elle est chercheuse en socio économie rurale. Enseignante à l'Université du Lac Tanganyika. Elle s'attache à l'énergie de cuisson, l'élément indispensable pour l'être humain.