Witch watch. Vol. 8

Au sein de la très animée résidence Otogi, Kanshi, avec son bagou naturel, lance une rumeur complètement fausse qui malheureusement se répand comme une traînée de poudre jusqu'à avoir d'invraisemblables conséquences !

Par la suite, le président du conseil des élèves convoque Morihito et les autres pour leur conseiller vivement de ne plus se faire remarquer. sauf qu'avant qu'ils ne puissent prendre la moindre résolution, voilà qu'une partie de leur corps se met à s'étirer de façon anormale ! Il ne peut y avoir qu'une seule coupable derrière cet incident... Et ils doivent à tout

Ils échafaudent donc un plan désespéré pour rejoindre la maison et faire lever le sort...

Kenta Shinohara

Je me suis émancipé d'un travail de salaryman pour commencer à dessiner des mangas, et j'ai fait mes débuts dans le métier en décembre 2004 (j'avais 30 ans), Ma première oeuvre officielle était un one-shot publié dans une édition spéciale du magazine Jump, certes, mais récemment je me suis souvenu que j'avais déjà publié quelque chose dans le journal gratuit GOMES de l'enseigne Parco, pour avoir gagné un concours de mangas qu'ils sponsorisaient

Le but de ces concours était de rassembler des mangas qui sortaient complètement des sentiers battus, ce qui en fait une publication franchement hipster sur les bords, mais parfois des auteurs connus participaient aussi et l'indiquaient sur leur CV ; alors moi, du coup, j'ai commencé à me dire que j'aurais peut-être dû en parler, inscrire que j'avais commencé au GOMES et pas au Jump, et que ne l'ayant pas fait j'étais coupable de fausse déclaration dans mon CV. (Haha...)

Si j'inclus cette première participation, d'ailleurs, ça voudrait dire que j'ai fait mes débuts à 20 ans.

Bah, À l'époque, je m'étais inscrit pour pouvoir trouver du travail plus facilement mais le résultat ressemblait plutôt à une petite blagounette qu'à un véritable manga, donc je ne peux quand même pas trop en parler dans mon CV. N'empêche qu'il me reste le souvenir d'une autre création dans laquelle mon moi étudiant avait mis tout son enthousiasme.