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Cet ouvrage est composé de vingt-sept poèmes et d'autant d'aquarelles. Les peintures transpirent d'émotions et sur nos lèvres, elles fredonnent un poème. Les pinceaux, les stylos, en nous, s'emmêlent en un recueil aux couleurs de l'arc-en-ciel. Des aquarelles customisées, s'échappent une nuée de couleurs sous les traits du pinceau pour être délivrées par les vers de ce recueil. Les coups de stylo évoquent différents thèmes tels que la nature, l'amour, les joies et les peines ou encore l'espoir et la désespérance Les émotions qui s'exaltent de ce recueil sont labiles. Elles apparaissent et puis s'en vont comme un cadeau éphémère qui laisse un goût d'inachevé. Il ne reste plus qu'à le relire de nouveau et comme un arbre non greffé, la saveur de son fruit sera à chaque fois renouvelée.
Yasmina MADAOUI est née en 1959 dans la Drôme en France. A l'été 1965, son père décide de retourner en Algérie et s'y établir avec son épouse. Yasmine éprouve rapidement des difficultés d'intégration liées à son absence de connaissance de la langue Arabe enseignée à l'école et de la langue Kabyle utilisée au quotidien. La famille s'installe temporairement dans un "appartement" au sous-sol de l'école de fille où sa mère enseigne. Cette école était un casernement du temps de l'occupation française. Il s'y dégage une atmosphère oppressante propice à enflammer une imagination déjà débordante. Le ravin qui jouxte l'école oblige Yasmine à emprunter des sentes périlleuses afin d'accéder au versant opposé. Ce n'est pas sans frayeur, qu'au crépuscule, elle traverse furtivement, de peur de réveiller les occupants, le cimetière pour acheter du pain tout chaud : autant de souvenirs et d'images réels ou imaginés transparaissent latents ou exprimés dans ses poésies.
Auteur
Yasmina MADAOUI est née en 1959 dans la Drôme en France. A l'été 1965, son père décide de retourner en Algérie et s'y établir avec son épouse. Yasmine éprouve rapidement des difficultés d'intégration liées à son absence de connaissance de la langue Arabe enseignée à l'école et de la langue Kabyle utilisée au quotidien.
La famille s'installe temporairement dans un "appartement" au sous-sol de l'école de fille où sa mère enseigne. Cette école était un casernement du temps de l'occupation française. Il s'y dégage une atmosphère oppressante propice à enflammer une imagination déjà débordante.
Le ravin qui jouxte l'école oblige Yasmine à emprunter des sentes périlleuses afin d'accéder au versant opposé. Ce n'est pas sans frayeur, qu'au crépuscule, elle traverse furtivement, de peur de réveiller les occupants, le cimetière pour acheter du pain tout chaud : autant de souvenirs et d'images réels ou imaginés transparaissent latents ou exprimés dans ses poésies.