20%
4.90
CHF3.90
Download est disponible immédiatement
Au début du siècle, une petite pension sur la Riviera. Grand émoi chez les clients de l'établissement : l'épouse d'un des pensionnaires, Mme Henriette, est partie avec un jeune homme qui pourtant n'avait passé là qu'une journée. Seul le narrateur prend la défense de cette créature sans moralité. Et il ne trouvera comme alliée qu'une vieille dame anglaise sèche et distinguée. C'est elle qui, au cours d'une longue conversation, lui expliquera quels feux mal éteints cette aventure a ranimés chez elle... Vingt-quatre heures de la vie d'une femme (Vierundzwanzig Stunden aus dem Leben einer Frau) est le titre d'une nouvelle de l'écrivain autrichien Stefan Zweig, publiée pour la première fois en 1927 dans le recueil La Confusion des sentiments (Verwirrung der Gefühle) avec cette nouvelle éponyme et Destruction d'un coeur (Untergang eines Herzens). L'idée du récit d'une femme en une journée a été inspirée à l'auteur par le roman épistolaire de la Princesse de Salm, Vingt-quatre heures d'une femme sensible, publié en 1824.
Stefan Zweig, né le 28 novembre 1881 à Vienne, en Autriche-Hongrie, et mort par suicide le 22 février 1942, à Petrópolis au Brésil, est un écrivain, dramaturge, journaliste et biographe autrichien. Ami de Sigmund Freud, Arthur Schnitzler, Romain Rolland, Richard Strauss, Émile Verhaeren, Stefan Zweig a fait partie de l'intelligentsia juive viennoise, avant de quitter son pays natal en 1934, à cinquante trois ans, en raison de la montée du nazisme. Réfugié à Londres, il y poursuit une oeuvre littéraire, de biographe (Joseph Fouché, Marie Antoinette, Marie Stuart) mais surtout d'auteur de romans et nouvelles : Amok, La Pitié dangereuse, La Confusion des sentiments, Le Joueur d'échecs. Dans son livre testament, Le Monde d'hier. Souvenirs d'un Européen, Zweig se fait chroniqueur de cet « âge d'or » de l'Europe, et analyse ce qu'il considère comme l'échec d'une civilisation.
Auteur
Stefan Zweig:Stefan Zweig, né le 28 novembre 1881 à Vienne, en Autriche-Hongrie, et mort par suicide le 22 février 1942, à Petrópolis au Brésil, est un écrivain, dramaturge, journaliste et biographe autrichien.Ami de Sigmund Freud, Arthur Schnitzler, Romain Rolland, Richard Strauss, Émile Verhaeren, Stefan Zweig a fait partie de l'intelligentsia juive viennoise, avant de quitter son pays natal en 1934, à cinquante trois ans, en raison de la montée du nazisme. Réfugié à Londres, il y poursuit une oeuvre littéraire, de biographe (Joseph Fouché, Marie Antoinette, Marie Stuart) mais surtout d'auteur de romans et nouvelles : Amok, La Pitié dangereuse, La Confusion des sentiments, Le Joueur d'échecs. Dans son livre testament, Le Monde d'hier. Souvenirs d'un Européen, Zweig se fait chroniqueur de cet « âge d'or » de l'Europe, et analyse ce qu'il considère comme l'échec d'une civilisation.
Texte du rabat
Au début du siècle, une petite pension sur la Riviera. Grand émoi chez les clients de l'établissement : l'épouse d'un des pensionnaires, Mme Henriette, est partie avec un jeune homme qui pourtant n'avait passé là qu'une journée. Seul le narrateur prend la défense de cette créature sans moralité. Et il ne trouvera comme alliée qu'une vieille dame anglaise sèche et distinguée. C'est elle qui, au cours d'une longue conversation, lui expliquera quels feux mal éteints cette aventure a ranimés chez elle...
Vingt-quatre heures de la vie d'une femme (Vierundzwanzig Stunden aus dem Leben einer Frau) est le titre d'une nouvelle de l'écrivain autrichien Stefan Zweig, publiée pour la première fois en 1927 dans le recueil La Confusion des sentiments (Verwirrung der Gefühle) avec cette nouvelle éponyme et Destruction d'un coeur (Untergang eines Herzens). L'idée du récit d'une femme en une journée a été inspirée à l'auteur par le roman épistolaire de la Princesse de Salm, Vingt-quatre heures d'une femme sensible, publié en 1824.