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Il était une fois un homme que j'ai appelé mon roi, pourquoi ? Parce qu' il est effectivement le roi. J'ai eu la chance de le connaître spirituellement mais, toutes choses ayant son temps il est parti mais j'ai connu l'éternité, la félicité et la liberté auprès de lui. Le voyage que j'ai fait à ses côtés n'était pas ordinaire. Cet amour-là était protégé par La tente d'A. Un lieu particulièrement symbolique, unique, Là où Les grands oiseaux de la nuit, le feu restent gravés dans La mémoire de ces nuits. Toutes les forces en puissance étaient là. Gravées, inscrites, il y avait aussi Les mots du rêve, ceux-ci ne faisaient écho qu'à Lui, et ces mots chantaient dans un dialecte inconnu, on pouvait percevoir des sons et des chants, on pouvait percevoir l'intemporalité des moments sacrés. Ce temps-là, où il était roi était sublime, il était ni rose ni bleu, plus que des couleurs, on pouvait sentir le poids des Lois et des parchemins. Avec lui, j'ai appris la beauté du monde et le courage pour le garder et je pense lui avoir fait découvrir la joie, qui souvent danse dans la main des anges. Nous avons grandi ensemble : lui a saisi la spontanéité : le rire, le sourire, la joie et j'ai connu ma liberté, c'était une renaissance, c'était à nouveau un instant où je pouvais à nouveau chercher le cercle des poètes disparus. Plus que de la poésie, c'était Sons et Chants, si tu préfères.
Sandrine Zimbris, Docteur Ès Lettres a connu depuis ses plus jeunes études une passion, une admiration et un réconfort ardents envers la poésie. Ce fut à l'âge de sept ans qu'elle découvrit le vaste univers poétique, un jour de pluie où l'eau glissant sur les carreaux l'invitait à partager un moment en suspens, hors du temps, proche du rêve et de l'évasion ; là : offerts. Ainsi, elle écrivit son premier poème « Madame la pluie ». Puis, le collège et le lycée firent d'elle, en toute simplicité : une 'littéraire' comme on dit. Ce fut alors, les premiers cahiers intimes de poésie..., bien sûr égarés. Il lui faudra attendre les années universitaires pour passer de l'écriture virtuelle à l'édition : objectif central de tout écrivain. Ainsi en 1996, avec ses camarades de Faculté, elle participa à une anthologie. Moments de créations dans la joie, où chacun livrait à l'autre ses écritures, et grâce à l'énergie de Stéphane Laurent, une publication vint au jour : « En passant par l'océan ». L'ouvrage fut présenté au salon du livre. D'autres expériences littéraires, l'affirmèrent dans son statut d'auteur : quelques publications journalistiques, ainsi que des expositions de certains de ses textes au Pavillon du Palais du Verdurier à Limoges depuis l'année 2012. Durant son cursus universitaire, sa passion s'affina et après avoir enseigné au collège et au lycée, elle entreprit le travail d'une thèse de Doctorat. Aboutissement de tout un parcours de vie, son travail se devait d'étudier la poésie. Ainsi, le thème du travail tomba sous le sens et ce fut dans la joie et l'épanouissement qu'il s'accomplit : « La poésie et l'intimité ou l'identité et l'être au monde ».
Auteur
Sandrine Adso, Docteur Ès Lettres, depuis le treize décembre 2010 connaît depuis ses plus jeunes études une passion, une admiration et un réconfort ardents envers la poésie. Dès l'enfance, son environnement l'inspira et elle écrivit son premier poème à l'âge de sept ans : "Madame la pluie."
Le collège et le lycée firent d'elle : une "littéraire" comme on dit. Ce furent alors, les premiers cahiers intimes de poésie..., bien sûr égarés.
Il lui faudra attendre les années universitaires pour passer de l'écriture virtuelle à l'édition. La poésie est omniprésente dans sa vie, et sa thèse en est l'affirmation : "La Poésie et l'Intimité ou l'Identité et l'Être au monde." Puis le cours de sa vie la rapprocha inexorablement de son plaisir d'écrire pour un public ouvert, et émotif : le but étant de faire naître des moments forts qui donnent à la vie son impact, d'élargir le spectre de l'espoir, d'aller toujours plus loin sur les sentiers lumineux.
Une écriture qui vient quelquefois depuis de terribles douleurs, mais qui s'alchimise par les mystères de la création. Et cette création a choisi de transcrire le panel intime en jardin de coquelicots fleurissant à toute saison.
Texte du rabat
Il était une fois un homme que j'ai appelé mon roi, pourquoi ? Parce qu' il est effectivement le roi. J'ai eu la chance de le connaître spirituellement mais, toutes choses ayant son temps il est parti mais j'ai connu l'éternité, la félicité et la liberté auprès de lui. Le voyage que j'ai fait à ses côtés n'était pas ordinaire. Cet amour-là était protégé par La tente d'A. Un lieu particulièrement symbolique, unique, Là où Les grands oiseaux de la nuit, le feu restent gravés dans La mémoire de ces nuits. Toutes les forces en puissance étaient là. Gravées, inscrites, il y avait aussi Les mots du rêve, ceux-ci ne faisaient écho qu'à Lui, et ces mots chantaient dans un dialecte inconnu, on pouvait percevoir des sons et des chants, on pouvait percevoir l'intemporalité des moments sacrés. Ce temps-là, où il était roi était sublime, il était ni rose ni bleu, plus que des couleurs, on pouvait sentir le poids des Lois et des parchemins. Avec lui, j'ai appris la beauté du monde et le courage pour le garder et je pense lui avoir fait découvrir la joie, qui souvent danse dans la main des anges. Nous avons grandi ensemble : lui a saisi la spontanéité : le rire, le sourire, la joie et j'ai connu ma liberté, c'était une renaissance, c'était à nouveau un instant où je pouvais à nouveau chercher le cercle des poètes disparus. Plus que de la poésie, c'était Sons et Chants, si tu préfères.