20%
6.90
CHF5.50
Download est disponible immédiatement
Le mystère de la licorne se confond avec celui de nos origines. Il fait appel à la vie. La licorne existe depuis la nuit des temps, elle est présente dans le c?ur de Booz et de Ruth (personnages de l'ancien testament), ainsi Booz la connaît, et elle est présente quand Booz embrasse Ruth et quand Ruth aime Booz. En effet, avec la licorne c'est la présence de l'amour, de la femme des îles, nouvelle Eve moderne, de l'homme épris d'une chevelure, de l'oiseau-baiser, des anges, du feu, du dieu et du roi. La licorne est présente au moment où l'homme dit : « l'aube je t'aime », car elle se confond et dans l'aube et dans l'amour. Il y a bien une rencontre avec la lumière, et le temps des licornes ne s'efface pas. Grâce à elle le salut chrétien se manifeste par la présence de l'ange qui déchaîne. Ainsi s'il faut parfois souffrir et courir à la recherche du temps perdu, la licorne nous ramène à l'essentiel : comme c'est bon la joie d'aimer. Pourquoi ? Parce que la licorne fait ressurgir dans notre mental, des archétypes induisants la Force vive, c'est ce qui fait dire à Arthur Rimbaud dans Crimen Amoris : « Ô, je suis celui qui sera Dieu ». Dans le simple respect de la nature et de la vérité, elle nous fait observer la naissance d'une nuit, elle chante une ode à la lune. Dans la nuit des enfants, elle conduit une fée dans le vent jusqu'à leurs sommeils. Elle protège les mythologies amoureuses, ainsi que les lieux sacrés, comme le kotel par exemple. De fait, licorne je te sais, tu nous proposes à tous d'attendre un ange et c'est pour cela que les ténèbres s'effondrent.
Sandrine Zimbris, Docteur Ès Lettres a connu depuis ses plus jeunes études une passion, une admiration et un réconfort ardents envers la poésie. Ce fut à l'âge de sept ans qu'elle découvrit le vaste univers poétique, un jour de pluie où l'eau glissant sur les carreaux l'invitait à partager un moment en suspens, hors du temps, proche du rêve et de l'évasion ; là : offerts. Ainsi, elle écrivit son premier poème « Madame la pluie ». Puis, le collège et le lycée firent d'elle, en toute simplicité : une 'littéraire' comme on dit. Ce fut alors, les premiers cahiers intimes de poésie..., bien sûr égarés. Il lui faudra attendre les années universitaires pour passer de l'écriture virtuelle à l'édition : objectif central de tout écrivain. Ainsi en 1996, avec ses camarades de Faculté, elle participa à une anthologie. Moments de créations dans la joie, où chacun livrait à l'autre ses écritures, et grâce à l'énergie de Stéphane Laurent, une publication vint au jour : « En passant par l'océan ». L'ouvrage fut présenté au salon du livre. D'autres expériences littéraires, l'affirmèrent dans son statut d'auteur : quelques publications journalistiques, ainsi que des expositions de certains de ses textes au Pavillon du Palais du Verdurier à Limoges depuis l'année 2012. Durant son cursus universitaire, sa passion s'affina et après avoir enseigné au collège et au lycée, elle entreprit le travail d'une thèse de Doctorat. Aboutissement de tout un parcours de vie, son travail se devait d'étudier la poésie. Ainsi, le thème du travail tomba sous le sens et ce fut dans la joie et l'épanouissement qu'il s'accomplit : « La poésie et l'intimité ou l'identité et l'être au monde ».
Auteur
Sandrine Adso, Docteur Ès Lettres, depuis le treize décembre 2010 connaît depuis ses plus jeunes études une passion, une admiration et un réconfort ardents envers la poésie. Dès l'enfance, son environnement l'inspira et elle écrivit son premier poème à l'âge de sept ans : "Madame la pluie."
Le collège et le lycée firent d'elle : une "littéraire" comme on dit. Ce furent alors, les premiers cahiers intimes de poésie..., bien sûr égarés.
Il lui faudra attendre les années universitaires pour passer de l'écriture virtuelle à l'édition. La poésie est omniprésente dans sa vie, et sa thèse en est l'affirmation : "La Poésie et l'Intimité ou l'Identité et l'Être au monde." Puis le cours de sa vie la rapprocha inexorablement de son plaisir d'écrire pour un public ouvert, et émotif : le but étant de faire naître des moments forts qui donnent à la vie son impact, d'élargir le spectre de l'espoir, d'aller toujours plus loin sur les sentiers lumineux.
Une écriture qui vient quelquefois depuis de terribles douleurs, mais qui s'alchimise par les mystères de la création. Et cette création a choisi de transcrire le panel intime en jardin de coquelicots fleurissant à toute saison.
Texte du rabat
Le mystère de la licorne se confond avec celui de nos origines.
Il fait appel à la vie.
La licorne existe depuis la nuit des temps, elle est présente dans le coeur de Booz et de Ruth (personnages de l'ancien testament), ainsi Booz la connaît, et elle est présente quand Booz embrasse Ruth et quand Ruth aime Booz.
En effet, avec la licorne c'est la présence de l'amour, de la femme des îles, nouvelle Eve moderne, de l'homme épris d'une chevelure, de l'oiseau-baiser, des anges, du feu, du dieu et du roi.
La licorne est présente au moment où l'homme dit : « l'aube je t'aime », car elle se confond et dans l'aube et dans l'amour. Il y a bien une rencontre avec la lumière, et le temps des licornes ne s'efface pas. Grâce à elle le salut chrétien se manifeste par la présence de l'ange qui déchaîne.
Ainsi s'il faut parfois souffrir et courir à la recherche du temps perdu, la licorne nous ramène à l'essentiel : comme c'est bon la joie d'aimer.
Pourquoi ?
Parce que la licorne fait ressurgir dans notre mental, des archétypes induisants la Force vive, c'est ce qui fait dire à Arthur Rimbaud dans Crimen Amoris : « Ô, je suis celui qui sera Dieu ».
Dans le simple respect de la nature et de la vérité, elle nous fait observer la naissance d'une nuit, elle chante une ode à la lune. Dans la nuit des enfants, elle conduit une fée dans le vent jusqu'à leurs sommeils. Elle protège les mythologies amoureuses, ainsi que les lieux sacrés, comme le kotel par exemple. De fait, licorne je te sais, tu nous proposes à tous d'attendre un ange et c'est pour cela que les ténèbres s'effondrent.