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L'oiseau-baiser apporte saveur à la vie. Car le corps est lumineux et entretient des desseins. Cette lumière et ce projet sont descriptibles par la parole. La plus belle d'entre elle étant certainement : l'aube je t'aime ; pour répondre à l'ombre. Puisque si tu viens, je t'offrirai ma nature et ma vérité. Alors probablement, cet amour sera pour toi un élan, voire un éveil. Dans ce paysage se trouvent la femme des îles et le poisson Martial. Au-dessus d'eux vole l'ange qui déchaine, et tout autour les jeux du poète. Cette lumière est visible depuis le sable : l'horizon de nuit. Alors s'échappe une petite goutte de lumière. C'est là la magie que l'artiste perçoit dans son tableau du matin. Comme Rimbaud lorsqu'il voit la belle Charleville. C'est l'instinct de la nuit qui se répand sur le jour d'altro. Un jour d'amour, un jour de vie pour l'homme et la chevelure, pour la nature, répandu sur le rêve océane bleu. La seule question est pourquoi le vent ?
Sandrine Adso, Docteur Ès Lettres, depuis le treize décembre 2010 connaît depuis ses plus jeunes études une passion, une admiration et un réconfort ardents envers la poésie. Dès l'enfance, son environnement l'inspira et elle écrivit son premier poème à l'âge de sept ans : "Madame la pluie." Le collège et le lycée firent d'elle : une "littéraire" comme on dit. Ce furent alors, les premiers cahiers intimes de poésie..., bien sûr égarés. Il lui faudra attendre les années universitaires pour passer de l'écriture virtuelle à l'édition. La poésie est omniprésente dans sa vie, et sa thèse en est l'affirmation : "La Poésie et l'Intimité ou l'Identité et l'Être au monde." Puis le cours de sa vie la rapprocha inexorablement de son plaisir d'écrire pour un public ouvert, et émotif : le but étant de faire naître des moments forts qui donnent à la vie son impact, d'élargir le spectre de l'espoir, d'aller toujours plus loin sur les sentiers lumineux. Une écriture qui vient quelquefois depuis de terribles douleurs, mais qui s'alchimise par les mystères de la création. Et cette création a choisi de transcrire le panel intime en jardin de coquelicots fleurissant à toute saison.
Auteur
Sandrine Adso:Sandrine Adso, Docteur Ès Lettres, depuis le treize décembre 2010 connaît depuis ses plus jeunes études une passion, une admiration et un réconfort ardents envers la poésie. Dès l'enfance, son environnement l'inspira et elle écrivit son premier poème à l'âge de sept ans : "Madame la pluie."Le collège et le lycée firent d'elle : une "littéraire" comme on dit. Ce furent alors, les premiers cahiers intimes de poésie..., bien sûr égarés.Il lui faudra attendre les années universitaires pour passer de l'écriture virtuelle à l'édition. La poésie est omniprésente dans sa vie, et sa thèse en est l'affirmation : "La Poésie et l'Intimité ou l'Identité et l'Être au monde." Puis le cours de sa vie la rapprocha inexorablement de son plaisir d'écrire pour un public ouvert, et émotif : le but étant de faire naître des moments forts qui donnent à la vie son impact, d'élargir le spectre de l'espoir, d'aller toujours plus loin sur les sentiers lumineux.Une écriture qui vient quelquefois depuis de terribles douleurs, mais qui s'alchimise par les mystères de la création. Et cette création a choisi de transcrire le panel intime en jardin de coquelicots fleurissant à toute saison.
Texte du rabat
L'oiseau-baiser apporte saveur à la vie. Car le corps est lumineux et entretient des desseins. Cette lumière et ce projet sont descriptibles par la parole. La plus belle d'entre elle étant certainement : l'aube je t'aime ; pour répondre à l'ombre. Puisque si tu viens, je t'offrirai ma nature et ma vérité. Alors probablement, cet amour sera pour toi un élan, voire un éveil. Dans ce paysage se trouvent la femme des îles et le poisson Martial.
Au-dessus d'eux vole l'ange qui déchaine, et tout autour les jeux du poète. Cette lumière est visible depuis le sable : l'horizon de nuit. Alors s'échappe une petite goutte de lumière. C'est là la magie que l'artiste perçoit dans son tableau du matin. Comme Rimbaud lorsqu'il voit la belle Charleville. C'est l'instinct de la nuit qui se répand sur le jour d'altro. Un jour d'amour, un jour de vie pour l'homme et la chevelure, pour la nature, répandu sur le rêve océane bleu. La seule question est pourquoi le vent ?