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Pour exposer la Mission du peuple hébreu, il ne fallait à l'auteur rien de moins que l'arrière-plan de l'histoire mondiale. En effet, par une démonstration rigoureuse et extrêmement érudite, c'est le rôle d'un peuple-pivot qu'il nous dévoile, du gardien de la tradition sacrée de l'organisation sociale divine manifestée sur la Terre : la Synarchie. Après la gigantesque chute de la fin du grand cycle, l'auteur remonte la courbe en expliquant pourquoi et sous quelles conditions la diaspora juive pourrait représenter les semailles fécondes d'une régénération du monde.
Joseph Alexandre Saint-Yves d'Alveydre, 26 mars 1842, Paris - 5 février 1909, Pau. La vie d'Alexandre Saint-Yves, plus tard marquis d'Alveydre, commença par la rébellion. Mais après un séjour à la colonie agricole de Mettray, fondée par Frédéric-Auguste Demetz (1796-1875), il trouva sa voie et se lança dans l'étude. Son parcours éclectique le mena de l'armée à la médecine, de l'économie à la musique et aux langues orientales, entre autres. Son mariage en 1877 lui ayant apporté la sécurité financière, il put se consacrer à l'écriture et fit paraître une vingtaine d'ouvrages sur les sujets les plus variés. Ami de Gérard Encausse (alias Papus),, grand admirateur de Fabre d'Olivet, il n'adhéra cependant à aucun mouvement spiritualiste, trop conscient de la portée universelle de son oeuvre. Ses travaux nourrirent pourtant les grands courants ésotéristes encore longtemps après sa disparition. L'ampleur et la profondeur de son oeuvre sont en cruel contraste avec l'oubli dont il souffre aujourd'hui.
Auteur
Joseph Alexandre Saint-Yves d'Alveydre, 26 mars 1842, Paris - 5 février 1909, Pau.
La vie d'Alexandre Saint-Yves, plus tard marquis d'Alveydre, commença par la rébellion. Mais après un séjour à la colonie agricole de Mettray, fondée par Frédéric-Auguste Demetz (1796-1875), il trouva sa voie et se lança dans l'étude. Son parcours éclectique le mena de l'armée à la médecine, de l'économie à la musique et aux langues orientales, entre autres. Son mariage en 1877 lui ayant apporté la sécurité financière, il put se consacrer à l'écriture et fit paraître une vingtaine d'ouvrages sur les sujets les plus variés. Ami de Gérard Encausse (alias Papus),, grand admirateur de Fabre d'Olivet, il n'adhéra cependant à aucun mouvement spiritualiste, trop conscient de la portée universelle de son oeuvre. Ses travaux nourrirent pourtant les grands courants ésotéristes encore longtemps après sa disparition. L'ampleur et la profondeur de son oeuvre sont en cruel contraste avec l'oubli dont il souffre aujourd'hui.
Texte du rabat
Pour exposer la Mission du peuple hébreu, il ne fallait à l'auteur rien de moins que l'arrière-plan de l'histoire mondiale. En effet, par une démonstration rigoureuse et extrêmement érudite, c'est le rôle d'un peuple-pivot qu'il nous dévoile, du gardien de la tradition sacrée de l'organisation sociale divine manifestée sur la Terre : la Synarchie.
Après la gigantesque chute de la fin du grand cycle, l'auteur remonte la courbe en expliquant pourquoi et sous quelles conditions la diaspora juive pourrait représenter les semailles fécondes d'une régénération du monde.