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Cette histoire se situe pas très loin dans le futur et parle du réchauffement climatique, mais pas que. Elle raconte aussi les tribulations d'un écolo porté sur la bouteille, voire sur l'herbe qui ne vient pas de Provence et autres substances illicites. C'est pourquoi cet écolo est un peu « stupéfiant » sur les bords. Il est quelque part amoureux. Un amoureux de la terre et de la Terre. Vit-il d'Amour et d'eau fraiche, ou d'amour sans Amour avec ses addictions autour ? Ses convictions sont profondes mais ses affres le sont encore plus et il doit renoncer à la politique afin de se soigner et reprendre gout à la vie. Sera-t-il assez fort pour vaincre les démons omniprésents qui le rongent de l'intérieur, quand ce n'est pas l'alcool qui lui bouffe l'estomac, le foie et les intestins, et quelque part les quelques neurones restants lui servant à réfléchir à son destin et à celui de la Terre ? Il passera par des péripéties stupéfiantes et rocambolesques et tombera aussi bas que l'on puisse tomber. Devant le DrugStar, le bar huppé du quartier des illuminés, il se couchera sur le pavé. Fera-t-il comme le Phénix ? Ce recueil est écrit avec la réforme de la nouvelle orthographe.
Je suis auteur depuis quelques années déjà et cela fait seulement quelques mois que je publie mes textes. C'est chronophage de s'occuper ainsi à faire connaitre ses mots. Je n'ai plus le temps d'écrire vraiment. Je dois m'y remettre car cela me manque. J'habite à la campagne, entouré de champs et de bois. Juste une route pour rejoindre les deux villages qui se trouvent à plus d'un kilomètre de chez moi. C'est pour vous dire que je suis tranquille pour écrire. Cela me change des appartements où j'avais du mal à me concentrer à cause du voisinage fort bruyant. Certains écrivains ne sont pas dérangés par le bruit et peuvent écrire dans un bar. Moi pas. J'écris sur mon ordinateur. J'aime travailler le matin de bonne heure, plutôt à la lueur de mon écran pour garder un semblant d'intimité entre moi et la feuille blanche. J'ai besoin de sentir de nouveau cette sensation d'avoir un esprit ou peut-être plusieurs qui se servent de mes doigts pour noircir ma page de mots incompréhensibles parfois pour la simple personne que je suis. Pour finir, ces mots deviennent des textes qui me plaisent. Où vais-je chercher tout ça ? Ces fulgurations me reviennent certainement de discours que j'ai pu entendre ça et là et dont seul mon disque dur interne aurait conservé quelques traces. Certains appellent cela l'écriture automatique. Et vous, qu'en pensez-vous ?
Auteur
Jean-Michel Boiteux:Je suis auteur depuis quelques années déjà et cela fait seulement quelques mois que je publie mes textes. C'est chronophage de s'occuper ainsi à faire connaitre ses mots. Je n'ai plus le temps d'écrire vraiment. Je dois m'y remettre car cela me manque. J'habite à la campagne, entouré de champs et de bois. Juste une route pour rejoindre les deux villages qui se trouvent à plus d'un kilomètre de chez moi. C'est pour vous dire que je suis tranquille pour écrire. Cela me change des appartements où j'avais du mal à me concentrer à cause du voisinage fort bruyant. Certains écrivains ne sont pas dérangés par le bruit et peuvent écrire dans un bar. Moi pas. J'écris sur mon ordinateur. J'aime travailler le matin de bonne heure, plutôt à la lueur de mon écran pour garder un semblant d'intimité entre moi et la feuille blanche. J'ai besoin de sentir de nouveau cette sensation d'avoir un esprit ou peut-être plusieurs qui se servent de mes doigts pour noircir ma page de mots incompréhensibles parfois pour la simple personne que je suis. Pour finir, ces mots deviennent des textes qui me plaisent. Où vais-je chercher tout ça ? Ces fulgurations me reviennent certainement de discours que j'ai pu entendre ça et là et dont seul mon disque dur interne aurait conservé quelques traces. Certains appellent cela l'écriture automatique. Et vous, qu'en pensez-vous ?
Texte du rabat
Cette histoire se situe pas très loin dans le futur et parle du réchauffement climatique, mais pas que. Elle raconte aussi les tribulations d'un écolo porté sur la bouteille, voire sur l'herbe qui ne vient pas de Provence et autres substances illicites. C'est pourquoi cet écolo est un peu « stupéfiant » sur les bords.
Il est quelque part amoureux. Un amoureux de la terre et de la Terre. Vit-il d'Amour et d'eau fraiche, ou d'amour sans Amour avec ses addictions autour ?
Ses convictions sont profondes mais ses affres le sont encore plus et il doit renoncer à la politique afin de se soigner et reprendre gout à la vie. Sera-t-il assez fort pour vaincre les démons omniprésents qui le rongent de l'intérieur, quand ce n'est pas l'alcool qui lui bouffe l'estomac, le foie et les intestins, et quelque part les quelques neurones restants lui servant à réfléchir à son destin et à celui de la Terre ?
Il passera par des péripéties stupéfiantes et rocambolesques et tombera aussi bas que l'on puisse tomber. Devant le DrugStar, le bar huppé du quartier des illuminés, il se couchera sur le pavé. Fera-t-il comme le Phénix ?
Ce recueil est écrit avec la réforme de la nouvelle orthographe.