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Dans un monde où l'attention est souvent portée sur les visages et les mains, les pieds demeurent les membres négligés de notre anatomie. Cependant, dans son essai éclairant "Haut les Pieds", Jean-Michel Belorgey et Alix David nous rappellent que ces appendices ont une histoire riche et complexe qui mérite une exploration approfondie. Allant bien au-delà de leur fonction biologique, Belorgey nous emmène dans un voyage à travers le temps et l'espace pour examiner l'importance culturelle, sociale et symbolique des pieds. Ils commencent par nous rappeler que les pieds ont joué un rôle crucial dans l'évolution humaine, notamment dans l'acquisition de la station debout. Cette perspective paléontologique sert de point de départ pour une exploration plus large de la manière dont les pieds ont été perçus et utilisés à travers les différentes cultures et époques. Ce livre offre une exploration profonde et réfléchie d'un sujet souvent négligé. Il défie les perceptions conventionnelles et encourage le lecteur à réévaluer l'importance des pieds non seulement comme une partie du corps humain mais aussi comme un élément clé de notre héritage culturel et social. "Haut les Pieds" est plus qu'un simple essai sur une partie du corps humain. C'est une invitation à une exploration multidimensionnelle qui touche à la biologie, la culture, le droit et la philosophie. Un ouvrage qui mérite une attention particulière, surtout à une époque où les "enthousiasmes plus ou moins marchandisés" dominent le discours sur le bien-être et la santé.
Diplômé de l'Institut d'études politiques de Paris, où il fut membre de la Conférence Olivaint, et ancien élève de l'ENA (promotion Turgot), il est membre du Conseil d'État dont il a présidé la Section du rapport et des études de 2002 jusqu'au 3 novembre 2009, date à laquelle il est remplacé par Olivier Schrameck. Il commence sa carrière administrative au début des années 1970, d'abord auprès de Jacques Delors au Secrétariat général de la formation professionnelle, puis de René Lenoir au ministère des Affaires sociales. En 2001, il fait adopter la convention Belorgey. Il a été le président du Comité européen des Droits sociaux, période durant laquelle il a contribué à mettre en avant cette institution de contrôle des droits sociaux. Il en est aujourd'hui rapporteur. Il a présidé la Commission centrale d'aide sociale, dont il a façonné la jurisprudence pour les allocataires du revenu minimum d'insertion (RMI). Il a publié plusieurs ouvrages sur la politique sociale et les institutions parlementaires mais également quelques essais. Il a été président du conseil d'administration de l'ancien Fonds d'Action sociale pour les travailleurs musulmans d'Algérie en métropole et pour leur famille (FAS) et par la suite de cette même institution qui changea de nom le 16 novembre 2001, le Fonds d'aide et de soutien pour l'intégration et la lutte contre les discriminations (FASILD), supprimé par la loi sur l'égalité des chances en 2006.
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Diplômé de l'Institut d'études politiques de Paris, où il fut membre de la Conférence Olivaint, et ancien élève de l'ENA (promotion Turgot), il est membre du Conseil d'État dont il a présidé la Section du rapport et des études de 2002 jusqu'au 3 novembre 2009, date à laquelle il est remplacé par Olivier Schrameck. Il commence sa carrière administrative au début des années 1970, d'abord auprès de Jacques Delors au Secrétariat général de la formation professionnelle, puis de René Lenoir au ministère des Affaires sociales.
En 2001, il fait adopter la convention Belorgey.
Il a été le président du Comité européen des Droits sociaux, période durant laquelle il a contribué à mettre en avant cette institution de contrôle des droits sociaux. Il en est aujourd'hui rapporteur. Il a présidé la Commission centrale d'aide sociale, dont il a façonné la jurisprudence pour les allocataires du revenu minimum d'insertion (RMI).
Il a publié plusieurs ouvrages sur la politique sociale et les institutions parlementaires mais également quelques essais.
Il a été président du conseil d'administration de l'ancien Fonds d'Action sociale pour les travailleurs musulmans d'Algérie en métropole et pour leur famille (FAS) et par la suite de cette même institution qui changea de nom le 16 novembre 2001, le Fonds d'aide et de soutien pour l'intégration et la lutte contre les discriminations (FASILD), supprimé par la loi sur l'égalité des chances en 2006.