CHF4.00
Download est disponible immédiatement
L'Église catholique a un chef visible, le pape, et un chef invisible, Jésus-Christ. Pour que l'Église remplisse sa mission en toute sécurité, le Christ lui a promis son assistance et lui a envoyé le Saint-Esprit. Avec l'assistance du Saint-Esprit, les papes ont enseigné que la liberté religieuse était une hérésie condamnable. Le Concile de 1965 a rejeté cette doctrine. Hubertus Huber, s'est demandé si Dieu (le Saint-Esprit) pouvait se tromper ? Si Dieu se trompe, il n'est pas Dieu. Il ne change jamais ses décisions. Seuls les hommes peuvent se tromper. Hubertus Huber a rédigé quelques écrits dans lesquels il traitait de ce sujet. Très vite, il s'est retrouvé seul avec ses pensées "aberrantes". Dans cette situation, il demanda à Dieu de l'aider. Il a promis de tout brûler s'il ne trouvait pas de preuve de la véracité de ses écrits. Quelques jours plus tard, il a rencontré un prêtre qui lui a dit qu'ils avaient négligé un argument important et il lui a apporté un calendrier avec le serment de couronnement des papes. Le serment de couronnement est un contrat entre le Christ et son représentant. Selon ce contrat, toute modification de la doctrine, des rites et de la tradition entraîne le "BANN ou l'excommunication". En 1965, cette sanction a frappé 2400 évêques qui avaient voté contre l'enseignement de l'Eglise lors du Concile. Pour dissimuler le bannissement des évêques, le serment de couronnement a été détourné et supprimé de l'enseignement. Aujourd'hui, il est inconnu des théologiens et des universités. Cette dissimulation était une attaque contre Dieu et son enseignement. Pour Hubertus Huber, la visite miraculeuse du serment de couronnement des papes était la preuve demandée de la véracité de ses écrits. Dans ce livre, la déchéance de l'Eglise catholique en une secte sans prêtres est décrite en détail.
L'auteur Hubertus Huber est né en 1938 à Fribourg-en-Brisgau. Son professeur de religion était le Dr Ernst Föhr, qui devint plus tard vicaire général de l'archevêque Schäufele à Fribourg. Le Dr Föhr expliquait à son élève : "L'Église sera toujours attaquée par Satan. "Tant que nous parviendrons à éliminer à temps les hérétiques (les non-croyants), la Sainte Eglise ne changera pas. Si elle n'y parvient pas, elle se transformera en secte". C'est ce que disait le Dr Föhr en 1955, dix ans avant le Concile. On n'a pas réussi à éliminer les hérétiques. Ceux qui, par leur silence, ont couvert les hérétiques et les ont ainsi soutenus, portent une grande responsabilité dans la décadence de l'Eglise. En 1969, à la sortie de la messe dominicale, pour la première fois à "l'autel du peuple" et avec des instructions pour la communion dans la main, un homme âgé a dit : "C'est une nouvelle république". Qu'entendez-vous par là, a voulu savoir l'auteur ? Le Seigneur répondit : "Le Christ roi a été renversé. Ses ennemis prennent la tête de l'Eglise. Ils vont ouvrir la porte au mal". Depuis, l'auteur a observé la désintégration de l'Eglise et a tenté de documenter cette évolution.
Auteur
L'auteur
Hubertus Huber est né en 1938 à Fribourg-en-Brisgau. Son professeur de religion était le Dr Ernst Föhr, qui devint plus tard vicaire général de l'archevêque Schäufele à Fribourg. Le Dr Föhr expliquait à son élève : "L'Église sera toujours attaquée par Satan.
"Tant que nous parviendrons à éliminer à temps les hérétiques (les non-croyants), la Sainte Eglise ne changera pas. Si elle n'y parvient pas, elle se transformera en secte".
C'est ce que disait le Dr Föhr en 1955, dix ans avant le Concile. On n'a pas réussi à éliminer les hérétiques. Ceux qui, par leur silence, ont couvert les hérétiques et les ont ainsi soutenus, portent une grande responsabilité dans la décadence de l'Eglise.
En 1969, à la sortie de la messe dominicale, pour la première fois à "l'autel du peuple" et avec des instructions pour la communion dans la main, un homme âgé a dit : "C'est une nouvelle république".
Qu'entendez-vous par là, a voulu savoir l'auteur ? Le Seigneur répondit : "Le Christ roi a été renversé. Ses ennemis prennent la tête de l'Eglise. Ils vont ouvrir la porte au mal".
Depuis, l'auteur a observé la désintégration de l'Eglise et a tenté de documenter cette évolution.