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Les Mémoires de J. Casanova de Seingalt (ou Giacomo Casanova, 1725-1798), écrits par lui-même, sont l'ancienne édition des Mémoires de l'aventurier vénitien Casanova. Écrits en français entre 1789 et 1798, ils sont publiés à titre posthume et éditées par Jean Laforgue autour de 1825 dans une version qui pourtant n'échappera pas à la censure : en 1834, l'ouvrage est mis à l'Index des livres interdits avec toutes les oeuvres de Casanova avant de reparaître en 1880 par l'entremise de l'éditeur Garnier. La réédition Garnier Frères de 1880, réédition populaire et à bon marché, en 8 tomes, est aujourd'hui considérée comme la plus complète. Cet ouvrage se base sur cette version, désormais augmentée d'une notice biographique de Casanova, de lettres de Casanova et d'appendices historiques.
Giacomo Girolamo Casanova, né le 2 avril 1725 à Venise et mort le 4 juin 1798 à Dux (Royaume de Bohême, actuelle République tchèque), est un aventurier vénitien. Il est tour à tour violoniste, écrivain, magicien (dans l'unique but d'escroquer Madame d'Urfé), espion, diplomate, puis bibliothécaire, mais revendique toujours sa qualité de « Vénitien ». Il utilise de nombreux pseudonymes, le plus fréquent étant le chevalier de Seingalt (prononcer Saint-Gall) ; il publie en français sous le nom de « Jacques Casanova de Seingalt ». Casanova laisse une oeuvre littéraire abondante, notamment ses mémoires connus sous le titre Histoire de ma vie. Il est cependant surtout connu aujourd'hui en tant qu'aventurier, et surtout comme l'homme qui fit de son nom un synonyme de séduction. Il savait user aussi bien de charme que de perfidie pour conquérir les femmes. Cette réputation provient d'une oeuvre autobiographique, Histoire de ma vie, rédigée en français et considérée comme l'une des sources les plus authentiques concernant les coutumes et l'étiquette en usage en Europe au XVIIIe siècle. Il y mentionne cent quarante-deux femmes avec lesquelles il aurait eu des relations sexuelles, dont des filles à peine pubères et sa propre fille, alors mariée à l'un de ses frères francs-maçons, avec laquelle il aurait eu le seul fils dont il eût connaissance. Bien qu'il soit souvent associé à Don Juan comme séducteur, sa vie ne procédait pas de la même philosophie : ce n'était pas un collectionneur. Parfois présenté (ainsi par Fellini dans son film homonyme) comme un pantin ou un fornicateur mécanique, qui se détourne de sa conquête dès lors qu'elle s'est donnée à lui, il s'attachait, il secourait éventuellement. Personnage historique et non de légende, jouisseur et exubérant, il vécut en homme libre de pensée et d'action, des premiers succès de sa jeunesse à sa longue déchéance. Il est le frère du peintre Francesco Casanova.
Auteur
Giacomo Casanova:Giacomo Girolamo Casanova, né le 2 avril 1725 à Venise et mort le 4 juin 1798 à Dux (Royaume de Bohême, actuelle République tchèque), est un aventurier vénitien. Il est tour à tour violoniste, écrivain, magicien (dans l'unique but d'escroquer Madame d'Urfé), espion, diplomate, puis bibliothécaire, mais revendique toujours sa qualité de « Vénitien ».Il utilise de nombreux pseudonymes, le plus fréquent étant le chevalier de Seingalt (prononcer Saint-Gall) ; il publie en français sous le nom de « Jacques Casanova de Seingalt ».Casanova laisse une oeuvre littéraire abondante, notamment ses mémoires connus sous le titre Histoire de ma vie. Il est cependant surtout connu aujourd'hui en tant qu'aventurier, et surtout comme l'homme qui fit de son nom un synonyme de séduction. Il savait user aussi bien de charme que de perfidie pour conquérir les femmes. Cette réputation provient d'uneoeuvre autobiographique, Histoire de ma vie, rédigée en français et considérée comme l'une des sources les plus authentiques concernant les coutumes et l'étiquette en usage en Europe au XVIIIe siècle. Il y mentionne cent quarante-deux femmes avec lesquelles il aurait eu des relations sexuelles, dont des filles à peine pubères et sa propre fille, alors mariée à l'un de ses frères francs-maçons, avec laquelle il aurait eu le seul fils dont il eût connaissance.Bien qu'il soit souvent associé à Don Juan comme séducteur, sa vie ne procédait pas de la même philosophie : ce n'était pas un collectionneur. Parfois présenté (ainsi par Fellini dans son film homonyme) comme un pantin ou un fornicateur mécanique, qui se détourne de sa conquête dès lors qu'elle s'est donnée à lui, il s'attachait, il secourait éventuellement.Personnage historique et non de légende, jouisseur et exubérant, il vécut en homme libre de pensée et d'action, des premiers succès de sa jeunesse à sa longue déchéance. Il est le frère du peintre Francesco Casanova.
Texte du rabat
Les Mémoires de J. Casanova de Seingalt (ou Giacomo Casanova, 1725-1798), écrits par lui-même, sont l'ancienne édition des Mémoires de l'aventurier vénitien Casanova. Écrits en français entre 1789 et 1798, ils sont publiés à titre posthume et éditées par Jean Laforgue autour de 1825 dans une version qui pourtant n'échappera pas à la censure : en 1834, l'ouvrage est mis à l'Index des livres interdits avec toutes les oeuvres de Casanova avant de reparaître en 1880 par l'entremise de l'éditeur Garnier. La réédition Garnier Frères de 1880, réédition populaire et à bon marché, en 8 tomes, est aujourd'hui considérée comme la plus complète. Cet ouvrage se base sur cette version, désormais augmentée d'une notice biographique de Casanova, de lettres de Casanova et d'appendices historiques.