20%
9.90
CHF7.90
Download est disponible immédiatement
Tout le monde contemporain connaît les douloureux événements au Rwanda, dans les années 90. Nous ne savons pas comment les choses ont commencé dans ce pays - peut-être assez banalement - mais savons quelle évolution dramatique elles ont connue! Il est certain que, dans la situation qui concerne les Waaba (Bèwanribè) et les Bètammaribè (Soomba) au Bénin, la catastrophe à proprement parler n'est pas encore à être redoutée. Mais le fait d'affirmer la non existence d'une ethnie qui, quant à elle, se sachant bel et bien exister et aussi se faisant fière d'occuper une place qu'elle estime lui revenir au sein des communautés, nationale et internationale, n'évoque-t-il pas l'idée d'un génocide ou d'une tentative de génocide, tout au moins culturel ?
Emile KONASSANDÉ est né vers 1952 à Bocrona-Pouya, dans la Commune de Natitingou, au nord-est du Bénin. Il a fait ses études pimaires à l'école catholique de son village natal. Ayant passé pour ses études secondaires, les six premières années dans un séminaire, et la septième dernière dans un lycée, il a connu un cursus scolaire essentiellement classique, comportant le latin et le grec ancien. Alors que rien ne semblait prédestiner Emile KONASSANDÉ à faire des études médicales, il fut incité par son professeur de grec à entreprendre de telles études, à la faveur d'une bourse offerte à l'Etat Béninois par celui Hellénique. Diplômé de l'école de médecine dentaire de l'Université Aristote de Thessalonique (Grèce), le docteur KONASSANDÉ a été successivent chef du service de stomatologie à l'Hôpital Provincial de Natitingou, médecin-chef dudit hôpital et Directeur Départemental de la Santé des départements de l'Atacora et de la Donga. Admis à la retraite, Emile KONASSANDÉ, s'est plu dans des activités qu'il pense porteuses de témoignanges pour les générations à venir. Ces activités incluent le reboisement qui relève de ses rêves de jeunesse. Elles s'intéressent également au rappel par écrit de certains faits, us et coutumes, susceptibles d'éclairer maintenant ou plus tard, les semblables. En effet, ne dit-on pas que «Celui qui a planté un arbre avant de mourir n'a pas vécu inutile» et que «Les paroles s'envolent tandis que les écrits restent» ?
Auteur
Emile KONASSANDÉ est né vers 1952 à Bocrona-Pouya, dans la Commune de Natitingou, au nord-est du Bénin. Il a fait ses études pimaires à l'école catholique de son village natal. Ayant passé pour ses études secondaires, les six premières années dans un séminaire, et la septième dernière dans un lycée, il a connu un cursus scolaire essentiellement classique, comportant le latin et le grec ancien.
Alors que rien ne semblait prédestiner Emile KONASSANDÉ à faire des études médicales, il fut incité par son professeur de grec à entreprendre de telles études, à la faveur d'une bourse offerte à l'Etat Béninois par celui Hellénique.
Diplômé de l'école de médecine dentaire de l'Université Aristote de Thessalonique (Grèce), le docteur KONASSANDÉ a été successivent chef du service de stomatologie à l'Hôpital Provincial de Natitingou, médecin-chef dudit hôpital et Directeur Départemental de la Santé des départements de l'Atacora et de la Donga.
Admis à la retraite, Emile KONASSANDÉ, s'est plu dans des activités qu'il pense porteuses de témoignanges pour les générations à venir. Ces activités incluent le reboisement qui relève de ses rêves de jeunesse. Elles s'intéressent également au rappel par écrit de certains faits, us et coutumes, susceptibles d'éclairer maintenant ou plus tard, les semblables. En effet, ne dit-on pas que «Celui qui a planté un arbre avant de mourir n'a pas vécu inutile» et que «Les paroles s'envolent tandis que les écrits restent» ?
Texte du rabat
Tout le monde contemporain connaît les douloureux événements au Rwanda, dans les années 90. Nous ne savons pas comment les choses ont commencé dans ce pays - peut-être assez banalement - mais savons quelle évolution dramatique elles ont connue! Il est certain que, dans la situation qui concerne les Waaba (Bèwanribè) et les Bètammaribè (Soomba) au Bénin, la catastrophe à proprement parler n'est pas encore à être redoutée. Mais le fait d'affirmer la non existence d'une ethnie qui, quant à elle, se sachant bel et bien exister et aussi se faisant fière d'occuper une place qu'elle estime lui revenir au sein des communautés, nationale et internationale, n'évoque-t-il pas l'idée d'un génocide ou d'une tentative de génocide, tout au moins culturel ?