Le cri du PSOAS

Les vertèbres ou les disques inter-vertébraux ne doivent pas être tenus pour seuls responsables des lombalgies, des "tours de reins" et autres lumbagos. Lors de ces affections, on doit également prendre en compte le rôle du muscle Psoas-iliaque qui est souvent prépondérant. Pourquoi ce muscle ? Le corps disposerait-il à travers le changement de texture de ce dernier d'un pseudo-langage ou un alphabet indéfinissable pour exprimer sa souffrance ? Telle est la question abordée ici par Claude Bochurberg.

Claude BOCHURBERG, Ostéopathe, D.O, M.R.O.F, Diplômé de l'European School of Osteopathy, Maidstone (GB)., Diplômé Universitaire en Ostéopathie et Médecine Manuelle de la Faculté de Médecine Paris-Nord, Diplômé Universitaire et formation en clinique psychosomatique de l'Université Paris V, Ancien chargé de cours à la Faculté de Médecine Paris-Nord, chargé d'enseignement au Conservatoire Supérieur Ostéopathique Français. Auteur de nombreux ouvrages de référence. Chevalier dans l'ordre National de la Légion d'Honneur Chevalier dans l'Ordre National du Mérite.

Auteur
Claude Bochurberg:Claude BOCHURBERG, Ostéopathe, D.O, M.R.O.F, Diplômé de l'European School of Osteopathy, Maidstone (GB)., Diplômé Universitaire en Ostéopathie et Médecine Manuelle de la Faculté de Médecine Paris-Nord, Diplômé Universitaire et formation en clinique psychosomatique de l'Université Paris V, Ancien chargé de cours à la Faculté de Médecine Paris-Nord, chargé d'enseignement au Conservatoire Supérieur Ostéopathique Français.Auteur de nombreux ouvrages de référence.Chevalier dans l'ordre National de la Légion d'HonneurChevalier dans l'Ordre National du Mérite.

Texte du rabat

Les vertèbres ou les disques inter-vertébraux ne doivent pas être tenus pour seuls responsables des lombalgies, des "tours de reins" et autres lumbagos. Lors de ces affections, on doit également prendre en compte le rôle du muscle Psoas-iliaque qui est souvent prépondérant.

Pourquoi ce muscle ?

Le corps disposerait-il à travers le changement de texture de ce dernier d'un pseudo-langage ou un alphabet indéfinissable pour exprimer sa souffrance ?
Telle est la question abordée ici par Claude Bochurberg.