CHF13.90
Download est disponible immédiatement
Seminar paper de l'année 2014 dans le domaine Didactique du français - Pédagogie, Linguistique, note: 2,0, Universität zu Köln, cours: Hauptseminar, langue: français, résumé: Selon Weinrich, les formes temporelles viennent à nous à travers des textes. Ils dessinent, parmi d´autres signes et temps, un complexe de déterminations, un réseau de valeurs textuelles. Même si on connaît les paradigmes temporels dénomés ,,présent, ,,imparfait' ou ,,passé simple',on ne peut pas déduire de leur simple structure (grammaticale) les règles pour leur implémentation au sein du système verbal qui nous ouvre au même temps des nouvelles dimensions sémantiques et spatio-temporelles qui vont au-delà de l´approche linguistique des années soixante qui se contentait de définir le terminus ,,texte' comme expression de relations de signes sur le niveau phrastique ou transphrastique. C´est la raison pour laquelle la réflexion théorique de Weinrich sur le rôle textuel des temps verbaux ne se contentait pas des réalisations lexicales (morphème temporel plus lexème) et phrastiques des formes verbo-temporelles.Pour lui, chaque forme verbale représente un mode énonciatif déterminé qui implique la position du sujet par rapport à la situation actuelle d´énonciation et qui permet en saisir une certaine perspective spatio-temporelle. La ,,textualité' chez Weinrich s´oppose partiellement aux plusieurs approches linguistiques qui n´étaient pas vraiment capables d´intégrer tous les paramètres linguistiques implicites et explicites pour comprendre le texte comme ,,signe complexe'. Il ne s´agit pas d´une simple unité transphrastique qui est considerée plus complexe que la phrase ou des pronominalisations explicites ou implicites, dans lesquelles la reprise d´une certaine expression linguistique, selon leur identité referentielle où co-référence partielle, constitue la textualité. L´approche de Weinrich, qui ouvre plusieurs champs sémantiques,rappelle l´approche de Polenz, qui nous indique que chaque énoncé doit se référer à un objet déterminé, même si cet objet est seulement saisissable pour des lecteurs qui disposent d´un savoir linguistique plus profond, qui englobe par exemple des conventions où connotations. (p.e le valeur émotif des mots).
Texte du rabat
Seminar paper de l'année 2014 dans le domaine Didactique - Français - Pédagogie, Linguistique, note: 2,0, Universität zu Köln, cours: Hauptseminar, langue: Français, résumé: Selon Weinrich, les formes temporelles viennent à nous à travers des textes. Ils dessinent, parmi d autres signes et temps, un complexe de déterminations, un réseau de valeurs textuelles. Même si on connaît les paradigmes temporels dénomés ,,présent, ,,imparfait" ou ,,passé simple",on ne peut pas déduire de leur simple structure (grammaticale) les règles pour leur implémentation au sein du système verbal qui nous ouvre au même temps des nouvelles dimensions sémantiques et spatio-temporelles qui vont au-delà de l approche linguistique des années soixante qui se contentait de définir le terminus ,,texte" comme expression de relations de signes sur le niveau phrastique ou transphrastique. C est la raison pour laquelle la réflexion théorique de Weinrich sur le rôle textuel des temps verbaux ne se contentait pas des réalisations lexicales (morphème temporel plus lexème) et phrastiques des formes verbo-temporelles.Pour lui, chaque forme verbale représente un mode énonciatif déterminé qui implique la position du sujet par rapport à la situation actuelle d énonciation et qui permet en saisir une certaine perspective spatio-temporelle. La ,,textualité" chez Weinrich s oppose partiellement aux plusieurs approches linguistiques qui n étaient pas vraiment capables d intégrer tous les paramètres linguistiques implicites et explicites pour comprendre le texte comme ,,signe complexe". Il ne s agit pas d une simple unité transphrastique qui est considerée plus complexe que la phrase ou des pronominalisations explicites ou implicites, dans lesquelles la reprise d une certaine expression linguistique, selon leur identité referentielle où co-référence partielle, constitue la textualité. L approche de Weinrich, qui ouvre plusieurs champs sémantiques,rappelle l approche de Polenz, qui nous indique que chaque énoncé doit se référer à un objet déterminé, même si cet objet est seulement saisissable pour des lecteurs qui disposent d un savoir linguistique plus profond, qui englobe par exemple des conventions où connotations. (p.e le valeur émotif des mots).