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Autrefois, la voie d'Arles faisait partie d'un vaste réseau de voies romaines qui reliaient la ville de Rome à la Péninsule ibérique. Aujourd'hui, le pèlerin qui entreprend la Voie d'Arles en direction de Saint-Jacques-de-Compostelle marche constamment en direction ouest jusqu'à la Via Tolosana (aujourd'hui Toulouse) avant de bifurquer vers les Pyrénées. Cette partie française plaît au marcheur qui recherche la solitude. Après les espaces plats de la Camargue, Le Gard et l'Hérault connaissent des dénivelés qui empêchent toute monotonie, alors que la région de Toulouse permet au pèlerin de se reposer avant d'entreprendre la dure montée vers le plus haut sommet de tous les chemins de Compostelle, le Col du Somport. La descente vers Puente la Reina dans la vallée aride du fleuve Aragon prépare le pèlerin à la traversée de la Meseta, cette section désertique du Camino francès. La Voie d'Arles prend fin à la rencontre du Camino francés à Puente la Reina et permet aux pèlerins de joindre leurs pas à tous ceux qui viennent des trois autres chemins français et marchent déjà vers Saint-Jacques-de-Compostelle. Roger Thomas, mon ami belge, et moi-même, nous avons parcouru toutes les étapes de ce chemin dans la joie et la souffrance, vu les importants dénivelés de la Montagne Noire et le col du Somport. Une belle aventure qui laisse de profonds souvenirs!
Claude Bernier a enseigné le latin, le grec et le français pendant 35 ans au Québec. Durant toute sa carrière, la lecture et la réflexion ont occupé une place de choix. Aujourd'hui retraité, il partage son temps entre le bénévolat en Amérique latine et les longues randonnées sur les Chemins de Compostelle.Au cours de ces vingt années, les rencontres avec des pèlerins venus de toutes les parties du monde n'ont cessé d'alimenter ses réflexions.Durant ces mêmes années, la maîtrise de la langue espagnole a permis à l'auteur d'échanger, de partager des projets et des idées avec les gens de l'Amérique latine. Le bénévolat est devenu une nécessité pour échanger avec les plus démunis et travailler avec eux à rendre leur monde meilleur.
Auteur
Claude Bernier a enseigné le latin, le grec et le français pendant 35 ans au Québec. Durant toute sa carrière, la lecture et la réflexion ont occupé une place de choix. Aujourd'hui retraité, il partage son temps entre le bénévolat en Amérique latine et les longues randonnées sur les Chemins de Compostelle.Au cours de ces vingt années, les rencontres avec des pèlerins venus de toutes les parties du monde n'ont cessé d'alimenter ses réflexions.Durant ces mêmes années, la maîtrise de la langue espagnole a permis à l'auteur d'échanger, de partager des projets et des idées avec les gens de l'Amérique latine. Le bénévolat est devenu une nécessité pour échanger avec les plus démunis et travailler avec eux à rendre leur monde meilleur.
Texte du rabat
Autrefois, la voie d'Arles faisait partie d'un vaste reseau de voies romaines qui reliaient la ville de Rome a la Peninsule iberique. Aujourd'hui, le plerin qui entreprend la Voie d'Arles en direction de Saint-Jacques-de-Compostelle marche constamment en direction ouest jusqu' la Via Tolosana (aujourd'hui Toulouse) avant de bifurquer vers les Pyrnes. Cette partie franaise plat au marcheur qui recherche la solitude. Aprs les espaces plats de la Camargue, Le Gard et l'Hrault connaissent des dnivels qui empchent toute monotonie, alors que la rgion de Toulouse permet au plerin de se reposer avant d'entreprendre la dure monte vers le plus haut sommet de tous les chemins de Compostelle, le Col du Somport. La descente vers Puente la Reinadans la valle aride du fleuve Aragon prpare le plerin la traverse de la Meseta, cette section dsertique du Camino francs. La Voie d'Arles prend fin la rencontre du Camino francs Puente la Reina et permet aux plerins de joindre leurs pas tous ceux qui viennent des trois autres chemins franais et marchent dj vers Saint-Jacques-de-Compostelle. Roger Thomas, mon ami belge, et moi-mme, nous avons parcouru toutes les tapes de ce chemin dans la joie et la souffrance, vu les importants dnivels de la Montagne Noire et le col du Somport. Une belle aventure qui laisse de profonds souvenirs!
Résumé
Autrefois, la voie d'Arles faisait partie d'un vaste réseau de voies romaines qui reliaient la ville de Rome à la Péninsule ibérique.Aujourd'hui, le pèlerin qui entreprend la Voie d'Arles en direction de Saint-Jacques-de-Compostelle marche constamment en direction ouest jusqu'à la Via Tolosana (aujourd'hui Toulouse) avant de bifurquer vers les Pyrénées.Cette partie française plaît au marcheur qui recherche la solitude. Après les espaces plats de la Camargue, Le Gard et l'Hérault connaissent des dénivelés qui empêchent toute monotonie, alors que la région de Toulouse permet au pèlerin de se reposer avant d'entreprendre la dure montée vers le plus haut sommet de tous les chemins de Compostelle, le Col du Somport.La descente vers Puente la Reina dans la vallée aride du fleuve Aragon prépare le pèlerin à la traversée de la Meseta, cette section désertique du Camino francès.La Voie d'Arles prend fin à la rencontre du Camino francés à Puente la Reina et permet aux pèlerins de joindre leurs pas à tous ceux qui viennent des trois autres chemins français et marchent déjà vers Saint-Jacques-de-Compostelle.Roger Thomas, mon ami belge, et moi-même, nous avons parcouru toutes les étapes de ce chemin dans la joie et la souffrance, vu les importants dénivelés de la Montagne Noire et le col du Somport.Une belle aventure qui laisse de profonds souvenirs!