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Depuis les années 90, les concepts des Etats fragiles, d'Etats mous, Etats faibles, Etats défaillants et d'Etats effondrés sont monnaie courante en éthique politique s'il faut se référer aux théories de l'Etat fort comme centre de régulation de l'ordre public développées par Max Weber. La République Démocratique du Congo est l'un de rares pays au monde qui ont franchi toutes ces caractéristiques d'un Etat en besoin de refondation après le cycle des conflits et des guerres en continu. Parmi les facteurs qui fragilisent l'Etat, la corruption constitue un « venin » déterminant s'il faut considérer son caractère global et globalisant : elle fragilise tous les secteurs de la vie publique et contribue à la disparition progressive de la conscience de l'Etat chez les Citoyens. En République Démocratique du Congo, la justice, l'armée et la police sont les secteurs les plus affectés par la corruption. C'est ce qu'essaie de présenter ALI BITENGA dans son ouvrage que vous détenez entre les mains. Le mérite de cet ouvrage est de ne pas se limiter à l'analyse des causes et des conséquences de cette corruption chez les policiers, mais c'est d'aller jusqu'à la proposition des chemins éthiques du renversement de la situation.
Ali Bitenga est Assistant de Recherche et d'Enseignement à la Faculté des Sciences Sociales de l'Université Evangélique en Afrique en RDC. Né en 1991 en République Démocratique du Congo, il travaille également comme Assistant de Recherche au Centre International de Recherche Avancée et de Formation (ICART). Il est détenteur d'un Diplôme de Licence en Paix et Développement. Ses intérêts scientifiques sont tournés vers la gouvernance et l'économie du bien être.
Auteur
Ali Bitenga est Assistant de Recherche et d'Enseignement à la Faculté des Sciences Sociales de l'Université Evangélique en Afrique en RDC. Né en 1991 en République Démocratique du Congo, il travaille également comme Assistant de Recherche au Centre International de Recherche Avancée et de Formation (ICART). Il est détenteur d'un Diplôme de Licence en Paix et Développement. Ses intérêts scientifiques sont tournés vers la gouvernance et l'économie du bien être.
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Depuis les années 90, les concepts des Etats fragiles, d'Etats mous, Etats faibles, Etats défaillants et d'Etats effondrés sont monnaie courante en éthique politique s'il faut se référer aux théories de l'Etat fort comme centre de régulation de l'ordre public développées par Max Weber. La République Démocratique du Congo est l'un de rares pays au monde qui ont franchi toutes ces caractéristiques d'un Etat en besoin de refondation après le cycle des conflits et des guerres en continu. Parmi les facteurs qui fragilisent l'Etat, la corruption constitue un « venin » déterminant s'il faut considérer son caractère global et globalisant : elle fragilise tous les secteurs de la vie publique et contribue à la disparition progressive de la conscience de l'Etat chez les Citoyens. En République Démocratique du Congo, la justice, l'armée et la police sont les secteurs les plus affectés par la corruption. C'est ce qu'essaie de présenter ALI BITENGA dans son ouvrage que vous détenez entre les mains. Le mérite de cet ouvrage est de ne pas se limiter à l'analyse des causes et des conséquences de cette corruption chez les policiers, mais c'est d'aller jusqu'à la proposition des chemins éthiques du renversement de la situation.